366 days of design – #02

Janvier

Lors de la première édition de ce projet en 2016, les illustrations avaient toutes été réalisées en vectoriel. Pour cette année, j’avais envie de m’initier au dessin plus libre, de créer des formes à la main en incorporant des textures pour un rendu moins froid.

Février

Très vite, le mois suivant, la nature est revenue au galop et je n’ai pas pu m’empêcher d’incorporer des formes géométriques “parfaites”, tout en m’imposant de conserver le dessin au trait, créant ici des motifs plutôt intéressants.

Mars

L’exploration continue et je décide de rendre plus visible la grille de construction (classique ou isométrique).

Avril

J’avais depuis longtemps, l’idée de créer des infographies dessinées. Ce projet était l’occasion parfaite pour m’y essayer, pendant un mois.

Mai

Le confinement a été l’occasion de créer des maquettes et de s’initier à l’origami avec ma fille. Chaque jour je testais un nouveau pliage qui était ensuite photographié et redessiné.

Juin

Comme les infographies du mois d’avril, j’ai souhaité ce mois-ci, explorer le rendu topographique à plat et en volume.

Juillet

Retour du soleil oblige, le mois de juillet a été l’occasion de mettre de côté les formes pour se concentrer sur les ombres projetées par celles-ci. Comme pour les origamis en mai, l’étude débutait toujours par la recherche d’un nouvel objet, l’utilisation de lumières et la prise de photos avant de dessiner le rendu.

Août

Après quatre mois à tester d’autres formes d’expression (plus ou moins concluantes), j’ai décidé de revenir à ce que j’aime : la géométrie pure. L’idée était d’étudier le travail d’artistes tels que Sol Lewitt, Josef Albers, François Morellet, Vera Molnar, Daniel Buren ou encore Victor Vasarely et voir comment leur travail (op et art cinétique) pouvait m’inspirer.

Septembre

L’art cinétique m’a poussée à continuer les recherches qui m’ont fait découvrir l’art concret ou l’utilisation de formes, lignes et couleurs pour ce qu’elles sont en tant que telles.

Octobre

Les découvertes du mois de septembre ont été une révélation et une bouffée d’air frais. J’ai découvert la liberté de juxtaposer des formes en me concentrant sur leur équilibre et leur contraste, sans chercher une quelconque représentation.

Novembre

Lors de mon retour à Paris en octobre, j’ai eu la chance – entre deux confinements – de m’en mettre plein les yeux  en visitant l’exposition-atelier de Yaacov Agam (Galerie des Enfants – pour les enfants mais pas que) puis celle de Martin Barré avec ses toiles radicales au Centre Pompidou, d’admirer les grandes installations théâtrales colorées de Ulla von Brandenburg au Palais de Tokyo, de sauter et danser grâce aux installations vidéos interactives d’Adrien M et Claire B à la Gaîté Lyrique.

Le mois de Novembre est un peu un condensé de tout ça.

Décembre

Décembre, retour du froid, jeu de formes et couleurs de saison mais lumineuses, parfait pour terminer l’année !